Description
Utilisé à une dose normale et recommandée, Anavar ne modifie pas les cycles hormonaux ni le métabolisme car l’aromatisation est très faible et, de ce fait, ne modifie pas les niveaux d’androgènes/estrogènes.
Anavar provoque une augmentation de la masse grasse et, par conséquent, une tonification musculaire et une optimisation de la force. Les utilisateurs qui recherchent un gain de masse doivent le prendre en “pila”, c’est-à-dire en le combinant avec un autre produit plus anabolisant, car l’Anavar ne permet pas d’obtenir un gain de masse.
Un mois d’Anavar/dianabol, par exemple, permet d’obtenir une masse sèche avec une faible rétention d’eau, idéale pour le culturisme, tandis que les leveurs de poids se transforment en une pila Anavar/andrólico (haute teneur en androgènes) pour un gain de force et une musculature plus dense.
Effets secondaires
La dihydrotestostérone étant incapable d’interagir avec l’enzyme aromatase et donc de subir une aromatisation (conversion) en œstrogènes, l’oxandrolone partage cette caractéristique importante. Son incapacité à s’aromatiser en œstrogènes se traduit par une élimination totale du potentiel d’effets secondaires œstrogéniques et liés aux œstrogènes. L’oxandrolone est alkylée au niveau du 17ème atome de carbone de sa structure stéroïdienne (appelée méthylation ou alkylation C17-alpha) afin de contourner le métabolisme hépatique et de lui permettre d’atteindre la circulation sanguine pour y accomplir son travail. Malheureusement, l’alkylation C17-alpha des stéroïdes anabolisants oraux est connue pour exprimer divers degrés de toxicité hépatique, mais l’Oxandrolone a démontré beaucoup moins de toxicité hépatique que la plupart des autres stéroïdes anabolisants oraux alkylés en C17-alpha. Il est toutefois important de comprendre que l’Oxandrolone n’est pas dépourvu de toxicité hépatique potentielle et qu’il convient de rester prudent quant à son utilisation à cet égard.
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